Antoine Dupont, grosse humiliation en vue
Alors que les Bleus s’apprêtent à
lancer leur Tournoi des Six Nations, Antoine Dupont a profité de
son week-end pour assister au deuxième choc NBA entre les Spurs et
les Pacers. L’occasion d’un douloureux aveu.
Trois jours
après avoir assisté au défilé Louis Vuitton et rencontré Pharell
Williams, le directeur créatif des collections hommes, Antoine
Dupont s’est autorisé une nouvelle sortie, samedi. A l’instar de
ses coéquipiers Romain Ntamack et Pierre-Louis Barassi, le demi de
mêlée du Stade Toulousain était en effet à l’Accor Arena pour
assister à la deuxième rencontre des NBA Paris Games entre San
Antonio et Indiana.
« J’aime bien aller voir des matches dès que j’en ai
l’occasion aux États-Unis. J’y suis allé plusieurs fois là-bas et
là, c’est le premier que je peux venir voir en France, donc
j’espère qu’on va être à la hauteur de l’ambiance des Américains
», a-t-il soufflé avant la rencontre.
Et du haut de ses 1m74, l’ancien Castrais n’a pas caché son
admiration pour Victor Wembanyama et consorts. Interrogé au micro
de Canal+, le champion olympique a évoqué un hypothétique duel
contre la star des Spurs, à qui il rend pas moins de 50
centimètres. Et à l’en croire, le pire est à craindre.
Antoine Dupont ne se fait pas d’illusion
« Je pense que je ne tiens pas cinq minutes, a
lâché Antoine Dupont dans un sourire. Déjà, rien que la taille,
à chaque fois c’est hyper impressionnant. Surtout de voir, malgré
leur taille, l’agilité et la vitesse qu’ils ont donc… Je suis bien
en tribunes ! »
Le capitaine du XV de France a également été invité à participer
au débat sur l’identité du meilleur joueur de l’histoire. Et si
pour beaucoup, Michael Jordan demeure le GOAT, Antoine Dupont a
plaidé la cause de LeBron James du fait de son exceptionnelle
longévité. « C’est toujours un dilemme… Mais vu ce qu’il est en
train de prouver en ce moment, je pense que LeBron James marque
beaucoup de points, par la longévité de sa carrière et ce qu’il est
encore capable de faire, à son âge… », a-t-il ainsi soufflé,
ajoutant : « Mais bon, il y en a d’autres qu’on peut citer
aussi, évidemment. »
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